Précisions / vidéoprotection

Conformément à ses engagements de campagne et après un audit complet mené par la police nationale, la majorité a commencé le déploiement de la vidéoprotection (la Mairie et ses abords, le cheminement piétonnier allant vers la place des Castors et les espaces autour du terrain André Messy).Sur l’ensemble du mandat, une ouverture de crédits de 280 000 € a été prévue dans le cadre d’un plan pluriannuel d’investissements avec un soutien de l’Etat pouvant aller de 50 à 80 %. Une ouverture de crédits correspond à une évaluation maximale. Cela ne signifie pas que cette somme sera totalement utilisée. Mettre en parallèle comme le fait l’opposition une ouverture de crédits et la fiscalité est trompeur et peu pertinent. C’est un moyen d’induire en erreur et d’inquiéter les Buxerollois.

Le nombre total de caméras n’est d’ailleurs pas encore arrêté. Pour information, EKIDOM a aussi installé deux caméras dans l’une de ses résidences du centre-ville, qui montre aujourd’hui leur efficacité.

La vidéoprotection est à la fois un outil de prévention mais aussi d’aide à la résolution des affaires. C’est un dispositif complémentaire à l’action de la police nationale et municipale qui agit quotidiennement sur le terrain mais aussi aux initiatives en terme de médiation. La tranquillité publique est l’une des priorités de la majorité municipale. C’est une forte attente des Buxerollois. Aux municipales, toutes les listes candidates y étaient d’ailleurs favorables.

Organiser une rencontre avec un sociologue connu pour son opposition à la vidéoprotection ne permet pas d’ouvrir le débat. C’est un moyen de vouloir discréditer le dispositif sans argument contradictoire.

26 avril 2022 à 11h33 - Buxerolles, naturellement